C’est durant sa dernière année à l’académie qu’Éline Cote écrit la thèse de son mémoire sur le sexisme dans la musique classique.
Elle désire fonder un orchestre 100% féminin, le Virago Symphonique Orchestra.
Rapidement elle reçoit plus de demandes de participantes qu’elle ne peut en accueillir, les propositions viennent de toutes les régions belges confondues.
Elle compose son orchestre féminin avec pas moins de cent musiciennes qui jouent les répertoires de compositrices, le tout mené par la baguette d’une cheffe d’orchestre.
Une démarche qui aborde la réflexion sur les stéréotypes des instruments dits « féminins et masculins » et sur la place des femmes dans la musique classique.
Sur la photo Eline Cote, Marlies Hollevoet, Ceres Lauwers, Pascale Van OS.